c'est en ces termes que les Goncourt, dans leur "Histoire de la pièce" publiée à la suite de l'échec de leur pièce Henriette Maréchal, finissent leur lettre adressée aux journaux; une lettre datée du 21 décembre 1865. Elle résume tout ce dossier de presse:
"Maintenant, attaqués à droite et à gauche, attaqués en même temps par le Siècle et par l’Union, par l’avenir National et par la Gazette de France, sans oublier le Monde, fusillés par un premier-Paris de le La France, arrêtés par l’administration, _ que nous reste-t-il à faire pour une pièce à laquelle les sympathies de la grande critique, les feuilletons de Jules Janin, de Théophile Gautier, de Nestor Roqueplan, de Paul de Saint-Victor, de Louis Ulbach, de Francisque Sarcey, la presse et le public, des recettes de quatre mille francs, une location de huit jours à l’avance, devaient assurer, semblait-il, le droit de vivre ?"